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Kawai
11 mai 2009

Jeudi 7 mai

Japon126

Nous sommes debout très tôt. Bouclons les valises et filons à la gare de Tokyo station très tôt. Sommes donc très en avance (1h30). Ai le temps d'avancer dans le bouquin, "le mec de la tombe d'à côté", à lire. Embarquement à bord du Shinkansen, avec les sièges dans le sens de la marche.

A la sortie de Tokyo, c'est toujours la vile et jusqu'à Kyoto, c'est toujours la ville. C'est surréaliste. Quelques rizières parfois mais l'asphalte est reine. Il pleut averses, nos ne verrons pas le Fuji San.

Nous arrivons 2h30 plus tard dans l'immense gare de Kyoto. Je milite pour le taxi malgré les 10mn à pieds indiqués sur les documents du ryokan car avec la pluie, les bagages et leur habitude de minimiser les distances et les fait qu'il soit compliqué de trouver un endroit...

Nous arrivons donc en taxi au Kazariya (http://kazari-ya.com/about-e.html).

Mignon mais au bord d'une avenue 8 voies ! La chambre est clean, ça sent le jonc de mer, les futons sont confortables, les couettes bien moelleuses. Après l'installation rapide, nous partons à pieds vers le vieux quartier de Gion. Les plans du guide évasion sont vraiment nuls : 2 échelles sur un même plan (400 m ou 1 km ???), les rues ne sont pas bien indiquées. Ca m'énerve. C'est donc plus loin que prévu, il pleut, je suis fatiguée. Nous trouvons un très beau temple, le Kennin Ji, nous ne sommes plus perdus. Je suis en hypoglycémie, il est 16 h, temps de manger. Après le casse-croûte, nous traversons la charmante rue de Pontocho, à voir absolument, le centre ville comptent de très nombreuses immenses galeries couvertes, ce qui est bien quand il pleut et les grandes avenues ont des sortes de hautvents. Sur Chuo Dori, la grande avenue, Vuitton, Dior, Montblanc, Kyoto est donc une petite ville... ;) Retour au ryokan. Nous nous effondrons sur nos futons. Il est temps de dîner et d'appeler notre Juju. Le resto indiqué par notre hôte est 100% japonais (= 0% anglais), on le laisse nous proposer ce qu'il veut. On se régale de pickles, de tempura et de soupe de nouilles (...) Nous faisons un gros dodo bercés par le ronron des 38 tonnes et des voitures qui accélèrent - décélèrent devant le ryokan toute la nuit.
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Kawai
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